C'est par ses caractéristiques physiques favorables à la course d'endurance que l'homme a pu survivre et se démarquer des grands singes il y a 2 millions d'années. C'est du moins l'hypothèse intéressante défendue par l'anthropologue Daniel Lieberman et le biomécanicien Dennis Bramble.
L'homme, piètre sprinter, se démarque des singes par sa capacité à maintenir la course sur une longue période.
Si vous souhaitez en savoir plus, l'article, paru en 2004 dans Nature, est disponible en PDF ici.
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