Runner Stats

Si la deuxième chose que vous préférez après la course à pied, c'est de compulser les résultats de course à pied, vous devriez apprécier Runner Stats qui fournit des statistiques sympas (temps moyen, répartition des arrivant selon leurs chronos, etc) tirés des résultats de différentes compétitions (10 km, semi-marathon, marathon, 100 km) en France et à l'étranger.

Photos du marathon du vignoble d'Alsace 2012 (Molsheim)

Les photos du marathon de Molsheim sont en ligne sur Coureurs en Alsace

Photos du semi-marathon de la Wantzenau

Les photos du semi-marathon de la Wantzenau sont désormais en ligne sur Coureurs en Alsace.
A consulter également, les photos du 5 km.

Photos des podiums féminin et masculin sur semi-marathon :

1ère: Jasmin Nunige

2ème: Clémence Christophe

3ème: Clarisse Salomon

1er: Pierre Joncheray

2e: Arnaud Bucher

3e: Maxime Genevé

Semi-marathon de la Wantzenau : 1h24'49

Il y a des jours où ça sourit, et d'autres où ça va moins bien.
Ce dimanche est à ranger dans la première catégorie.
L'objectif pour ce semi était 1h25.

Après un départ un peu trop rapide, je passe au 5 km en 19'32 , puis au 10 km en 39'39.
A partir de là, je sais que les choses vont devenir un peu plus difficiles, et effectivement l'allure faiblit légèrement pour passer en dessous des 15 km/h.
Je passe au 15 km en 1h pile. Allez, encore 6 km, dans 25 minutes, c'est fini. Et étonnamment (pour moi), je tiens, et je ne ressens pas la baisse d'allure qui caractérisait jusqu'alors mes fins de semi.
A l'arrivée, 1h24'49 et un nouveau record personnel qui fait du bien !!

Crédit photo : vo2seb

Semi-marathon du Mont Ste-Odile (Courses d'Ottrott)

Ce matin, j'ai participé à la première édition du semi-marathon du Mont Ste-Odile, organisé dans le cadre des traditionnelles courses d'Ottrott.

Le départ est donné à 9h. La température est hivernale (on doit pas être loin des 0°C), mais cela n'a pas empêché de nombreux coureurs de répondre présents pour cette première.

les premiers kilomètres suivent le parcours du 5 : légère montée initiale, puis on descend dans les vignes avant de remonter et de bifurquer vers le parcours du 10 km. Les choses sérieuses comment dès que l'on rejoint la forêt, la pente se raidit. Après le passage au sommet, une descente permet de récupérer. Puis le semi prend un sentier sur la droite et la longue (5 km) montée vers le Mont Ste Odile débute :) Heureusement, j'étais parti prudemment, sachant très bien qu'actuellement je ne suis pas prêt au niveau kilométrage pour faire un semi "à fond". Sur la fin de la montée, les cuisses se font lourdes, mais on est récompensé par un superbe soleil et un magnifique ciel bleu.

Dans la descente, je me sens bien et j'en profite pour dépasser plusieurs coureurs. A mesure que l'on descend, on retrouve le brouillard et la température glaciale qui va avec.
Au km 18, nous rejoignons le parcours du 10 km. Le plus dur est fait, il reste 3 km assez faciles.

Bilan : un temps correct (1h41'50) quoique anecdotique sur ce type de profil, une première édition très bien organisée, un parcours exigeant mais superbe (tout se mérite !).

Seul petit regret : sur les 3 derniers kms, les semi-marathoniens ont du dépasse bon nombre de coureurs du 10 km. Un point à améliorer pour la deuxième édition :)

A noter que j'ai payé 13 euros pour une inscription sur place, ce qui est tout à fait correct. En revanche, Nabil, engagé sur le 5, a déboursé 10 euros ... 2 euros par kilomètre, c'est trop !

Résultats complets des courses d'Ottrott 2011 sur cdcottrott.org

Crédit photo : Sam Nimitz

Au Japon, ça envoie

Au hasard de mes pérégrinations sur la toile, je suis tombé sur les résultats d'un semi-marathon japonais qui m'ont laissé pantois. En effet, pas moins de 317 coureurs sont passés sous 1h10 à l'occasion du semi-marathon Tachikawa Akishima qui s'est déroulée cette année (cliquez ici pour voir les résultats en question).
Pour mettre en perspective cette performance, les bilans FFA montrent qu'en France en 2010, seuls 131 coureurs sont parvenus à descendre sous la barre des 1h10 sur semi.
La densité du demi-fond universitaire japonais est effarante.

Comme dirait JF, au Japon, ils lâchent les Watts !